La saison 2 de Prison Break s'est achevée lundi soir sur la Fox. 22 épisodes d'une saison pas forcément prévue à la base mais dont la dynamique s'est tenue, en tout cas dans la première partie. Depuis la reprise, certains épisodes présentaient quelques flottements dans l'action. Mais le final s'approchant, les scénaristes ayant promis un dénouement de l'intrigue de la saison 2, on pouvait s'attendre à une confrontation dantesque entre les protagonistes, un épisode de malade, quelque chose de fou, surtout que pas mal d'éléments étaient réunis.
On aura eu droit à plusieurs épisodes de semi-remplissage afin de réunir tout le beau monde dans les mêmes parages, et finalement, j'en ressors un poil déçu. Disons pour faire simple que les scénaristes se sont servis de cette épisode comme d'un tremplin vers la saison 3, sans tout faire péter comme on aurait voulu. Alors oui, à la vue des derniers plans de ce final, on se dit que ça va assurément saigner et que ça va barder dans tous les coins dès la nouvelle saison. Et c'est bien ça le problème : "dès la nouvelle saison". On n'y est pas encore, mais j'ai peur que Prison Break ne mette la pression pour rien, pose des questions et n'y réponde jamais. A trop tirer sur la corde de l'intrigue, les producteurs risquent de perdre l'énergie des débuts. Continuer une série est une chose, la clotûrer dignement en est une autre.
La Fox avait annoncé une pause dans la saison 2 de Prison Break, sans en annoncer au départ la durée. Elle sera finalement de deux mois, et il faudra attendre le 22 janvier pour revoir sur les écrans Scofield et Burrows.
Sympas, les scénaristes terminent l'épisode 13 sur un retournement de situation moins stressant que d'habitude. On pourra donc dormir les yeux fermés ces deux prochains mois. Ce dernier épisode de l'automne était le premier que je visionnais en direct, et apparemment je n'étais pas seul car la quasi intégralité des membres de mon groupe de ressources humaines en parlait ce matin.
Dans tous les cas, c'est un tour de force que les producteurs de la série réalisent avec cette saison, sachant que seulement 22 épisodes étaient prévus au départ. Le succès aidant, dès la moitié de la première saison, les scénaristes ont revu leur copie afin de voir plus loin et de créer des situations crédibles et toujours aussi tendues. La suite en 2007.
Nous sommes mercredi soir et je viens de finir la saison 1 de Prison Break. 14h40 de série dévorés en à peine 4 soirées. Encore une fois, il faut le voir pour le croire. 22 épisodes de folie, des morts un peu partout, une réalisation hyper efficace, une tension et un suspense comme on en fait plus...
Nos compagnons sont enfin hors des murs de la prison mais ils sont poursuivis et recherchés par un hélicoptère et des dizaines de policiers. Voilà sur quoi nous laisse le dernier plan. La saison 2 s'annonce corsée. Je n'ose même pas me mettre dans la peau des gens qui ont découvert la série dès le pilote, et qui ont suivi le rythme de diffusion américain d'un épisode par semaine. Comme cela coupe toujours une demi-seconde après des rebondissements monstrueux, j'aurais probablement payé pour une machine à avancer le temps.
Je me mets déjà dans le peau de Ben, qui a pris la série en cours à l'épisode 15, et qui a vécu pas mal de ces moments. Puis je pense à la période de 6 mois qui a séparé la première et la deuxième saison, actuellement en cours. Pour l'instant, j'ai encore 11 épisodes de la saison 2 qui m'attendent sagement avant de tomber en rade. On dit qu'il est toujours bon de réduire sa consommation. J'espère qu'on disait vrai.
Ce qui devait arriver arriva. 5 épisodes de Prison Break et déjà plus moyen d'en décrocher. Hier soir, vers 23h30, je propose à Alex(andra) de regarder le premier épisode avec moi, histoire de voir ce que ça donne. 4 heures plus tard, on décide de s'arrêter après le cinquième épisode. Il faut bien dormir.
Tout est excellent dans ces premiers épisodes : une mise en scène hyper soignée, des acteurs avec de bonnes têtes, une toile scénaristique qui ne cesse de se tisser... J'aime tout particulièrement les plans aériens donnant une vue d'ensemble de l'enceinte carcérale. Prison Break, c'est comme les cookies : la seule façon d'arrêter est de ne plus en avoir sous la main. C'est tellement bon que l'on a même regardé deux épisodes qui n'étaient pas complétement téléchargés.
Donc voilà, David et p'tit colloc, vous pouvez vous lancer à tête perdue dans cette série et lever au passage le mystère qui entoure les impressionantes audiences de cette série. Les épisodes sont facilement téléchargeables louables en qualité DVD dans les principaux réseaux. Si vous voulez de la VOSTFR, des sous-titres sont disponibles et correspondent aux épisodes dont le poids tourne dans les 350 mo. A bon entendeur...