La saison 2 de Prison Break s'est achevée lundi soir sur la Fox. 22 épisodes d'une saison pas forcément prévue à la base mais dont la dynamique s'est tenue, en tout cas dans la première partie. Depuis la reprise, certains épisodes présentaient quelques flottements dans l'action. Mais le final s'approchant, les scénaristes ayant promis un dénouement de l'intrigue de la saison 2, on pouvait s'attendre à une confrontation dantesque entre les protagonistes, un épisode de malade, quelque chose de fou, surtout que pas mal d'éléments étaient réunis.
On aura eu droit à plusieurs épisodes de semi-remplissage afin de réunir tout le beau monde dans les mêmes parages, et finalement, j'en ressors un poil déçu. Disons pour faire simple que les scénaristes se sont servis de cette épisode comme d'un tremplin vers la saison 3, sans tout faire péter comme on aurait voulu. Alors oui, à la vue des derniers plans de ce final, on se dit que ça va assurément saigner et que ça va barder dans tous les coins dès la nouvelle saison. Et c'est bien ça le problème : "dès la nouvelle saison". On n'y est pas encore, mais j'ai peur que Prison Break ne mette la pression pour rien, pose des questions et n'y réponde jamais. A trop tirer sur la corde de l'intrigue, les producteurs risquent de perdre l'énergie des débuts. Continuer une série est une chose, la clotûrer dignement en est une autre.
J'ai beaucoup entendu parler de ce film et énormément de temps s'est écoulé depuis que j'ai eu envie de le visionner. Et finalement, ce soir, 10 mois après sa sortie, je le vois en DVD. Que dire si ce n'est que je suis encore sous le choc. Dans l'optique d'un film au rythme lent et trop long, j'ai apprécié le moindre plan, j'ai porté une attention démesurée à chaque détail, et tout se justifie. Le résultat est sublime : la reconstitution est incroyable, les décors sont magnifiques, les acteurs sont impeccables, le tout est d'une justesse rare. Le mot est juste : justesse. Kirsten Dunst est née pour ce rôle. Tout concours à une montée lente et progressive de l'intensité émotionnelle. Le paroxysme est atteint lors des dernières scènes, et la pudeur finale achève le film de la plus belle manière qui soit.
Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. L'américaine en tête de la finale de snowboard cross a trop fait sa maligne. Dans la dernière ligne droite, bénéficiant d'une avance confortable, elle tente une figure bidon, chute à la réception et se fait dépasser. Rappel : le snowboard cross est une course de vitesse, donc aucun intérêt à faire un saut, sauf pour se ramasser et perdre la médaille d'or.
Vidéo
La chute au ralenti et la tête du coach (musique : Didier Super)
Si vous êtes déjà allé faire vos courses à Auchan, vous aurez déjà peut être remarqué les cartes cadeau proposées aux caisses. Le principe est simple : la carte, une fois payée, devient un bon d'achat valable dans le magasin.
Mais quel intêret ? La personne sait exactement le montant du "cadeau" qu'on vient de lui offrir (puisqu'il est directement précisé sur la carte) et ce montant devient uniquement dépensable dans les magasins Auchan ! Aucun intérêt, sauf pour le magasin.
De plus, Auchan précise sur son site :
Les cartes sont valables jusqu'à leur date de fin de validité et ne peuvent pas donner lieu à un remboursement, même partiel.
Très fort, la carte peut être dépassée. Un simple billet est plus pratique.
David Hasselhoff, connu essentiellement pour son rôle de Michel Knight dans la série K2000, et dans la tout au moins celebre série Alerte à Malibu, est en fait selon le Guiness des Records, l'acteur le plus vu de la planète. Surprenant non ?
Il est peut être aussi moins connu pour ses talents de chanteur, et son fort penchant pour l'alcool. Ceci explique peut etre cela, je vous laisse juger !
Hooked on a Feeling
Un acteur inoubliable dans Bob l'éponge.
Quand on fait dans le généraliste, on n'hésite pas à dire tout et n'importe quoi. Pour preuve, une citation mot pour mot du numéro de décembre/janvier de Citato :
Télécharger sur Alapage.com ou Virginmega.fr par exemple, c'est s'assurer d'un son parfait, équivalent à celui fourni par un CD. Les plates-formes gratuites ne peuvent pas, techniquement, y parvenir. Raison : le partage multiplie les connexions et la circulation des fichiers, ce qui endommage forcément ces derniers.
C'est vrai qu'un fichier WMA encodé en 128 kbits/s équivaut à un CD et que des MP3 en 320 kbits/s ça ne circule pas. Ou alors que partiellement, vu que le P2P endommage les fichiers...