DSK est inculpé pour agression sexuelle sur une femme de chambre. Des enquêtes sont en cours et plusieurs voix en France réclame le respect de la présomption d'innocence. Seul le temps et les résultats des investigations nous indiqueront si Dominique Strauss-Kahn est coupable (ou non) des faits qui lui sont reprochés par la plaignante.
Cas numéro 1 : DSK est innocent. Cela veut dire qu'il se mange actuellement une vague d'accusations infondées dont il est difficile de sortir indemne. En restant fier et droit, il traverse l'épreuve tant bien que mal et sort blanchi de cette affaire. Ses amis du PS l'érigent en martyr, les français sont impressionnés par son courage et sa force mentale : le 6 mai 2012 à 20h, Dominique Strauss-Kahn est élu Président de la République Française.
Cas numéro 2 : DSK est coupable des faits qui lui sont reprochés. Le traitement médiatique de l'affaire n'est pas disproportionné par rapport au niveau de responsabilité de l'homme public. Les personnes qui l'ont défendu, Bernard Henri-Lévy en tête, sont également condamnées pour "complicité morale". DSK meurt en prison à l'âge de 86 ans.
Cas numéro 3 : DSK est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés, et par effet d'entraînement, des affaires similaires remontent à la surface et l'enfoncent encore un peu plus. Pour Bernard Henri-Lévy, qui a déjà défendu Roman Polanski, la coupe est pleine. DSK meurt en prison à l'âge de 154 ans.
La version 2 de Banshee a remplacé Rhytmbox en tant que lecteur de musique par défaut sous la dernière version d'Ubuntu.
En tant que maniaque concernant les lecteurs de musique, j'avais déjà testé Banshee sans être totalement convaincu (vu que je ne l'ai pas utilisé en tant que lecteur principal) mais je ne me souviens plus pour quelle(s) raison(s).
Cette promotion au sein de la logithèque d'Ubuntu valait bien que j'y jette un nouveau coup d'oeil, et autant dire que je suis plus qu'heureux d'avoir accordé une seconde chance au logiciel. Depuis que je suis sous Linux, c'est clairement le meilleur lecteur GTK que j'ai pu utiliser.
Quelques fonctionnalités qui déchirent :
- Surveillance automatique de la bibliothèque
- Possibilité de créer des listes de lecture basées sur absolument n'importe quel critère (durée, année, BPM, nom, type de fichier, etc.). Tu veux créer automatiquement une liste de lecture de tous les morceaux de Rock Progressif encodés en FLAC, sortis en 2010, que tu as écouté au moins 3 fois au cours des 4 derniers mois, et qui durent moins de 3 minutes 20 ? C'est possible.
- Navigation par artiste et par album (avec pochettes récupérées automatiquement)
- Intégration avec l'API de Last.fm (pour les artistes similaires et le scrobbling)
- Une file d'attente de lecture dont je comprends enfin le fonctionnement !
Certaines de ces fonctionnalités sont présentes dans Amarok, Rhytmbox ou Exaile mais Banshee est le seul à toutes les réunir au sein d'une interface claire et pertinente. Je suis ravi.
Le temps est un précieux allié dans tout processus de réflexion. J'en ai récemment fait l'expérience, lorsqu'on m'a de nouveau proposé un poste qui avait, à l'époque, été attribué à quelqu'un d'autre. Cela remonte à novembre dernier, et que je le veuille ou non, j'en gardais un souvenir amer : j'avais dû mettre de côté les films que je m'étais fait à l'époque et tracer ma propre route.
Et voilà que près de 6 mois plus tard, le poste m'est de nouveau proposé : la personne en place ne convient finalement pas et l'idée originale de m'engager ressurgit. On me demande si je suis toujours intéressé par le poste : sans doute, mais par expérience, par orgueil ou par crainte, je joue celui qui n'est plus si sûr de vouloir intégrer l'entreprise.
Je réfléchis, me pose des questions : dois-je cesser une activité complètement précaire mais qui me plait et qui prouve que je m'en sors par moi-même ou dois-je céder aux sirènes d'une opportunité de mission enrichissante et de la sécurité d'un emploi salarié ?
Pendant 9 jours, l'orgueil m'a répondu de refuser. Le 10ème jour, je suis revenu à la raison : j'avais envie de ce poste, et j'en ai toujours envie.
"La planète est en danger, c'est à cause de you."
Ces paroles pleines de sens, portées à l'écran par Stéphane Rousseau, auraient très bien pu être prononcées par Guy Pearce, son sosie australien d'origine britannique, aperçu ce vendredi soir dans Le discours d'un roi.