ESCIP

It's a Small World

Le monde n'a pas rétréci mais la mondialisation n'a fait qu'accélérer cette impression de compression de l'espace terrestre. J'ai appris début avril que deux de mes anciens collègues irlandais avaient pour projet de tenter leur chance à Montréal : cela fait plus de 2 ans que je ne les ai pas vu et ils seront là en juin. Et là, cette semaine, Anne-Sophie voit dans son flux Facebook que David le chilien vient de poster des photos des "ratas de Montreal". Oui, David le chilien - rencontré à l'ESCIP il y a 3 ans - est sur la même île que nous. Il est venu chez nous pour une soirée samedi dernier, accompagnée d'une amie allemande, Christiane. Christiane était juste ma filleule en ESCIP 4. Le monde est petit.

All your emails are belong to us

L'administration de mon école reçoit-elle une copie des emails échangés via la liste de diffusion créée pour joindre l'ensemble des étudiants d'une promo ? La réponse est oui. Merci à la directrice d'avoir réagi à un mail dont elle n'était pas la destinataire.

Vous pouvez jeter vos tickets cantine

Depuis le temps que je sais que les comptes du restaurant de mon campus sont dans le rouge, la nouvelle ne me surprend qu'à moitié : décision a été prise de le fermer définitivement. Mais ça fait toujours mal de savoir qu'on ne pourra plus manger sur place pour moins de 4 euros, qu'on n'aura plus d'endroit pour s'asseoir tranquillement, qu'on n'aura plus le droit à des repas fraîchement préparés par Xavier et sa bande. C'est moche.

Devenir major de promo

Incroyable nouvelle ce matin : plusieurs personnes me félicitent dans les couloirs d'avoir obtenu la meilleure note à l'interro surprise de Contrôle de gestion approfondi. Grâce à un 5,5 sur 20 ! Moyenne de classe : 1,84. Même Yang Yang le chinois et son 1 ont battu des élèves français. La classe.

Love Story

Toinou ne devrait plus se sentir concerné. Depuis février, il a décidé d'arrêter l'ESCIP. Mas cela ne l'empêche pas de continuer à figurer parmi la liste des destinataires de l'intégralité des communications. Que les mails proviennent de l'administration ou des autres élèves, ça ne change rien.

Et pendant que 12 onzièmes des élèves de la promo ont le feu aux fesses car ils n'ont pas obtenu leurs crédits, Toinou se voit convier au "séjour académique" du 10 au 14 septembre prochain pour une remise à niveau de sa LV2. N'y participent que les élèves assurés de leur passage en année supérieure. Ouais mais Toinou ? Bah Toinou il s'en fout.

Lost in Transition

Malgré seulement 2 heures de cours en ce jour de rentrée, nous avons réussi à manquer la deuxième session. Normalement c'est très simple : Entrepreneurship en salle 1325. Sur la porte, un papier nous indique que la salle a changé, donc demi-tour direction la classe 819A, où nous avons assisté à notre premier cours.



Au bout de cinq minutes, nous réalisons que nous sommes en fait dans un cours de Microeconomics. Le nom du professeur ne correspond pas, les heures de cours non plus. Quelques longues secondes passent puis j'interromps le professeur et lui lance un vieux I think we are in the wrong room. En gros il nous répond qu'on peut sortir, ce que l'on s'empresse de faire.

Le magazine de l'ESCIP

A la manière de notre précédent produit (un CD, cf. Un peu d'amour pour Noël), le professeur d'espagnol nous a demandé de faire le plan marketing d'un produit star. Sur une idée d'Antonio, notre groupe a concocté un magazine pleinement consacré à l'ESCIP, présenté ce matin même.







Miguel Palacios est le responsable international de la zone hispanophone. En France depuis 15 ans, il a toujours un très fort accent espagnol et se la joue beau gosse.



Vincent est avec la chinoise sur la deuxième photo de gauche. Il n'était pas au courant de cette rubrique sur ses conseils de séduction et l'a découverte en pleine présentation.



La dernière rubrique est La gestion budgétaire facile, et la photo représente un homme qui fait de la planche à voile. Hommage à notre jeune professeur hyper bronzé qui fait du kitesurf et qui nous balance des formules et des chiffres avec une aisance déconcertante.