Une autre dose s'il vous plaît

Nous sommes mercredi soir et je viens de finir la saison 1 de Prison Break. 14h40 de série dévorés en à peine 4 soirées. Encore une fois, il faut le voir pour le croire. 22 épisodes de folie, des morts un peu partout, une réalisation hyper efficace, une tension et un suspense comme on en fait plus...



Nos compagnons sont enfin hors des murs de la prison mais ils sont poursuivis et recherchés par un hélicoptère et des dizaines de policiers. Voilà sur quoi nous laisse le dernier plan. La saison 2 s'annonce corsée. Je n'ose même pas me mettre dans la peau des gens qui ont découvert la série dès le pilote, et qui ont suivi le rythme de diffusion américain d'un épisode par semaine. Comme cela coupe toujours une demi-seconde après des rebondissements monstrueux, j'aurais probablement payé pour une machine à avancer le temps.



Je me mets déjà dans le peau de Ben, qui a pris la série en cours à l'épisode 15, et qui a vécu pas mal de ces moments. Puis je pense à la période de 6 mois qui a séparé la première et la deuxième saison, actuellement en cours. Pour l'instant, j'ai encore 11 épisodes de la saison 2 qui m'attendent sagement avant de tomber en rade. On dit qu'il est toujours bon de réduire sa consommation. J'espère qu'on disait vrai.