Bric à brac
Alors qu'il est sorti sur les écrans français à l'occasion du Festival de Cannes le 24 mai, Marie Antoinette est sorti ce vendredi au Canada et aux Etats-Unis par la même occasion. Situation inédite pour un film américain. Alors que je n'en avais strictement rien à foutre lors de sa sortie en France, la campagne médiatique dont il bénéficie ici éveille mon intérêt. Si je ne trouve pas de rip correct dans la semaine je vais peut-être m'aventurer dans les salles obscures.
Je suis impressionné : moi qui me croyait seul capable d'émettre des ultrasons, je viens de trouver un élève en la personne de Natacha(tte), la roomie d'Alexandra. L'oreille humaine ne peut pas localiser précisément d'où viennent les basses. Cela semble être de même avec les ultrasons. J'en lance donc sur demande lorsque je suis d'humeur en soirée.
Le Canada donne faim. J'ai beau manger plus qu'en France, je me sens toujours affamé. Même chose pour Alex, Ben et Antoine.
Les canadiens ne doivent pas être friands de céréales chocolatées : difficile d'en trouver dans les rayons. De même, je trouve plus de céréales Kellogg's dans les rayons d'Auchan en France que dans ceux de Superstore ici. Impossible de trouver des Chocos, des Frosties Choco ou des Crisp-X. J'ai fait un trait sur les Chocapic également, et me suis rabattu, pour essayer, sur les Lucky Charms : céréales chocolatées avec des bouts de guimauve.
Rangez vos dents les enfants ! Les bouts de guimauve semblent être en réalité des bouts de sucre hyper solubles. Alors que l'on se régale avec les céréales au chocolat, on se retrouve à presser entre ses dents un bout de guimauve multicolore pas consistant, qui s'effrite instantanément en sucre pur. Quand je dis sucre pur, je parle d'une chose encore plus pure que du sucre en poudre. Les grains du sucre en poudre sont bien trop gros comparés à ce que deviennent les bouts de guimauve des Lucky Charms. Je n'ose même pas y goûter sans lait.