La blague de l'éternel
La blague la plus entendue, la plus ancienne et la plus facile sur mon nom vient de ressurgir des méandres du passé. La dernière fois que j'y ai eu droit remonte à mon année de première : un professeur de français, Francis Descamps, en panne flagrante d'inspiration.
Mais la semaine dernière, pendant l'appel durant le second cours d'approche interculturelle Allemagne, M. Meyer, allemand de son état civil, lâche sa vanne.
Monsieur Fache ? Vous n'êtes pas fâché ?
Incroyable. Je suis en ESCIP2 et cette blague, que même les élèves ne me font plus depuis plusieurs années, sort de la bouche d'un de nos responsables internationaux. Les applaudissements qu'il a reçu sont amplement mérités.